Dans notre résidence, après plusieurs semaines de travaux, ils ont ouvert un restaurant. Juste devant la superbe piscine, ce sera je l’espère un soir pour nous l’occasion d’aller manger sans avoir à faire la cuisine quand Simon dormira bien !
Ce matin, ils organisaient l’inauguration avec les moines.
Je trouve cela toujours étrange de mélanger religion et commerce, mais cela vient forcément de mon fond judéo chrétien où l’argent est considéré comme sale.
Ici, nulle honte de demander à Bouddha de l’argent et la réussite dans les affaires (même si les puristes trouvent cela déplacé).
Si les bonzes se déplacent en sachant l’objet de leur venue, c’est que c’est tout à fait accepté.
Les prières furent donc « chantées », les convives furent bénis, les offrandes furent faites aux moines qui avaient à manger pour au moins 2 semaines et la nourriture fut servie.
Nous ne pouvions pas rester –le travail nous attendait- et en même temps étions un peu mal à l’aise parmi tous ces thais, nous étions en effet les seuls « étrangers » et moi donc, la seule blanche de toute l’assemblée.
On nous a préparé des fruits à emporter (pas loin d’un kilo, j’ai cru voir ma belle mère !) et nous sommes rentrés.
Je pense que nos hôtes étaient contents de notre venue et nous avons été également contents de partager ce moment avec eux.
Ce matin, ils organisaient l’inauguration avec les moines.
Je trouve cela toujours étrange de mélanger religion et commerce, mais cela vient forcément de mon fond judéo chrétien où l’argent est considéré comme sale.
Ici, nulle honte de demander à Bouddha de l’argent et la réussite dans les affaires (même si les puristes trouvent cela déplacé).
Si les bonzes se déplacent en sachant l’objet de leur venue, c’est que c’est tout à fait accepté.
Les prières furent donc « chantées », les convives furent bénis, les offrandes furent faites aux moines qui avaient à manger pour au moins 2 semaines et la nourriture fut servie.
Nous ne pouvions pas rester –le travail nous attendait- et en même temps étions un peu mal à l’aise parmi tous ces thais, nous étions en effet les seuls « étrangers » et moi donc, la seule blanche de toute l’assemblée.
On nous a préparé des fruits à emporter (pas loin d’un kilo, j’ai cru voir ma belle mère !) et nous sommes rentrés.
Je pense que nos hôtes étaient contents de notre venue et nous avons été également contents de partager ce moment avec eux.
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